Les vacances je n’aime pas je l’ai déjà dit l’an passé et pourtant ça recommence cette année.
Episode sacs valises et cabas hier toute la journée j’ai expliqué dans mon livre de vacances l’effet sur mon moral catastrophe.
Même lieu que les autres années mais nous le savons depuis peu aucun de mes copains solitude est donc mon lot.

Mais comme ça personne ne me volera ma sœur et nous avons programme chargé mon blog mon carnet de vacances à fabriquer vie locale à partager avec les villageois et encore courses dans boutique pour débauche de vêtement à la mode dans la grande ville du pays.
Et puis même si mes copains ont désertés moi je vais aller les voir là ou ils sont au centre proche ou à l’hôpital pour momo.
Le programme est empli tous les jours pourtant je n’aime pas les vacances je ne sais plus mes repères je suis déboussolée ici pendant que je pointe pour la journée cloche sonne c’est campagnard je trouve
Et il faut trouver repères dans spatialité les seuls auxquels je me raccroche la temporalité étant pour moi problématique.
Tristesse donc au soir de ce jour villageois.
Que je regrette ma chambre et le rituel des journées où je vais au centre voir mes copains le centre n’a pas cette vocation première de permettre de rencontrer ses copains mais quand les activités s’éloignent de notre projet personnalisé ça devient sa seule réalité mais au fond de moi lueur de cet échange demain car ici un bistrot a internet et nous allons y aller tôt le matin pour faire tentative de connexion et je pourrais blogger avec vous internautes connus et inconnus.
Ma pensée est claire. (formule à lire a haute voix pour savourer les deux sens)